Conforme au politiquement correct, telle s’affirme l’éthique du communicant, dans un siècle ou nul ne saurait garder libre parole, sans garantir ses arrières d’un parachute social consensuel.
Contraint ou forcé, Michel ONFRAY, semble avoir pris sa retraite.
Le temps est révolu ou HENRI IV justifiait verte politique par un fameux : « Paris vaut bien une messe » !
Avouons qu’à coté, le « Casse toi pauvre Con », pale déclinaison d’un même cynisme, manque singulièrement de blanc panache.
Les jérémiades convenues du pape-soldat RATZINGER, enjoignant à son nouvel évêque révisionniste, repentance et discrétion, sont l’illustration la mieux actuelle du redoutable syndrome de fausse intolérance et d’hypocrisie positive qui envahit l’histoire.
Réveille toi VOLTAIRE, ils sont devenus fous !
Le bon peuple, qui reproche volontiers au pauvre Gasparou de ne point parler clair, pourrait utilement réfléchir aux deux concepts élémentaires qui dominent autant le monde des idées que celui de l’action :
Pouvoir tourner sa veste.
Savoir avaler son chapeau.
Il comprendrait sans doute pourquoi un politicien médiocre, bien que fin lettré, sut maugréer :
« Ce ne sont pas les girouettes qui tournent, c’est le vent «
Enfin la papesse du Poitou promènerait discrètement ses inconstances à Marbella ou ailleurs .
LEON le sceptique .
dimanche 1 mars 2009
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4 commentaires:
Dubo, dubon, du Gasparrou bien saignant.
Tant pis pour les faux culs et les grincheux. Moi J'adooore.
Sandrine.
Sans doute le résultat d'une nuit sans sommeil. Pas mal du tout du concentré largement distribué.
Bon Dimanche.
DEB
Emmène moi danser ce soir...
Michèle
youpi !
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